11/20/2010

Friday, November the nineteenth

Iran tries to emerge from its isolation

On November 18, 2010, Russian president Dmitry Medvedev and his Iranian counterpart Mahmud Ahmadinejad held their first meeting after the recent breakup.The Russian president expressed his agreement about the development of the very controversial Iranian nuclear program.

Earlier this year, Russia had held the opposite position at the UN and cancelled projects of supplying missiles to Iran.Dmitry Medvedev even stressed the importance of Iranian acquisition of the nuclear power. That’s in this climate of “friendship” that Russia launched the first Nuclear Central in Iran at Bushehr which will be controlled and emptied of the spent fuel that could potentially be used to create a nuclear bomb with plutonium. These new relationships allow us to highlight the reintegration of Iran on the diplomatic scene.

The Russian initiative was preceded by the Italians who expressed their complete support of the Iranian program. The Italian Foreign Minister Franco Frattini even said: "We recognize the right of all countries, including Iran, to peaceful nuclear energy." Italy has undertaken several projects with Iranabout war-torn Afghanistan, especially to combat drug trafficking, extremism and terrorism.

Iranians claim they will continue their research to use nuclear energy peacefully to answer medical and research needs and meet the rising demand of energy.

L’Iran tente de sortir de son isolement

Le 18 novembre 2010, s’est tenu la première réunion après la rupture nette des derniers mois entre le président russe Dmitri Medvedev et son homologue iranien Mahmoud Ahmadinejad. Le président russe a d’ailleurs exprimé son accord sur le développement du programme nucléaire iranien, pourtant très controversé.

La Russie avait, il y a peu, tenu un discours inverse à l’ONU et abandonné l’idée de fournir des missiles sol-air à Téhéran.Cette fois, Dmitri Medvedev a même souligné l’importance pour l’Iran d’accéder dans de bonnes conditions à la puissance nucléaire. C’est dans ce climat de «confiance» que les Russes ont lancé la première centrale iranienne à Bouchehr qu’ils contrôleront et videront de ses déchets, le combustible pouvant être réutilisé pour fabriquer une bombe nucléaire à base de plutonium.Ces nouveaux liens permettent à l’Iran de rompre son isolement sur la scène internationale.

Avant cette initiative russe, l’Italie avait déjà fait part de son accord total sur ce programme. Le ministre des Affaires Etrangères italien Franco Frattini a même déclaré : « Nous reconnaissons le droit de tous les pays, y compris l'Iran, à l'énergie nucléaire pacifique.» Ainsi l’Italie a entrepris avec l’Iran quelques projets concernant l’Afghanistan en guerre, en particulier, le trafic de drogue, le terrorisme et l’extrémisme qui y sévissent.

L’Iran a affirmé poursuivre son projet d’utiliser pacifiquement l'énergie nucléaire pour répondre aux besoins de la médecine, de la recherche et aux croissants besoins d'énergie du pays.

Alexandre
Source :
BBC news : http://www.bbc.co.uk/news/world-middle-east-11789895
Press Tv : http://www.presstv.ir/detail/151333.html


11/06/2010

Monday 1 November

Negotiations restart between Tehran and the UN

The Iranian government has agreed to resume talks with the USA and Europe about its nuclear plan. The news has been announced by Catherine Ashton, who is in charge of this volatile issue for the European Union.

The Iranian negotiator, Saïd Jalili, has said that his government agreed provided they could choose the place and the date.
Then, Iran wishes that the discussion would take place after November 10th, in Geneva. The last talks were held in Vienna, in October, 2009.

It will be between Iran and six major world powers - the USA, Russia, China, France, Great Britain, and Germany.
It’s a big step for the UN and Iran, because Tehran had refused almost all the suggestions or injunctions from New-York by the past.

But the negotiations won’t be easy. Westerners are concerned that Iran could use its nuclear potential for military purposes. Iran said he wants to expand the talk to other problems, as regional security, or Israel’s nuclear bomb.

So, the United States declared they don’t want Iran to have enough of uranium to make a nuclear bomb.
Then, the White House confirmed the future agreement will be stricter than the last one, proposed a year earlier.



Lundi 1er Novembre

Les négociations reprennent entre Téhéran et les Nations Unies

L’Iran vient d’accepter de dialoguer à nouveau avec les Etats-Unis et l’UE à propos de son potentiel nucléaire. Cette information a été annoncée par Catherine Ashton qui est responsable de ce dossier sensible.

Le négociateur iranien, Saïd Jalili, indique que son gouvernement accepte cette discussion, s’il peut choisir le lieu et la date.
Téhéran souhaite donc que les pourparlers se tiennent à Genève, après le 10 novembre. La dernière entrevue remonte à octobre 2009 à Vienne.

Les négociations se dérouleront entre l’Iran et six grandes puissances : les Etats-Unis, la Russie, la Chine, la France, la Grande Bretagne et enfin l’Allemagne.
Pour l’ONU, c’est un grand pas effectué par l’Iran, étant donné que Téhéran avait rejeté jusque là quasiment toutes les injonctions ou les offres venant de New-York.

Toutefois, les négociations ne s’annoncent pas faciles. Les Occidentaux restent préoccupés par le fait que l’Iran puisse utiliser son potentiel nucléaire à des fins militaires. De son côté, le gouvernement iranien souhaite aborder d’autres thèmes, tels que la sécurité dans la région, ou la possession de la bombe nucléaire par Israël.

Les Etats-Unis ont déclaré qu’ils ne voulaient pas que l’Iran ait assez d’uranium pour constituer une bombe atomique.
Ils ont également confirmé que le processus envisagé sera plus strict que celui proposé un an plus tôt.



Pierre

Source : AFP http://www.google.com/hostednews/afp/article/ALeqM5g24Rvy2tcdhwdta4C2cD_UUeXmmg?docId=CNG.b3d68239553912d371a619cddf039b67.be1