12/05/2007

'Trash' Rap Ban

Thursday, 29 November 2007

‘Trash’ Rap Ban

Some rappers in Iran record songs talking, with very vulgar words, about political, social and sexual themes. They are also inspired by Los Angeles. L.A. is one of the main places of American rap and that’s where some Iranians are exiled. They are very popular with the young in Tehran.
But the Iranian government has announced a campaign against this music which is considered too provocative. The Ministry for Culture and Islamic Guidance declared that illegal studios would be closed and rappers “confronted”. And now on, Iranian rap singers will need an official permission to record an album or stage a concert.
It is not known yet whether the whole genre is banned in Iran.
Only a few songs are approved by the Ministry but most circulate illegally.
“Decadent” films, drugs and alcohol will be considered as sinful and targeted. Women wearing make-up and hats instead of headscarves will be arrested. The Iranian Supreme Leader, Ayatollah Ali Khamenei, has publicly backed police action.
Marine G.

Jeudi 29 Novembre 2007

Le rap “trash” interdit

Des rappeurs iraniens enregistrent des chansons, au langage plus que vulgaire, dont les thèmes abordés sont la politique, la société et le sexe. Ils sont également inspirés par Los Angeles qui est l’un des endroits ou la culture rap est la plus présente aux Etats-Unis. C’est également là que des Iraniens s’exilent. Ces rappeurs sont très appréciés des jeunes de Téhéran.
Mais le gouvernement a récemment commencé une campagne contre ce genre de musique qui est jugée trop provocante. Le ministère de la Culture a déclaré que les studios illégaux seraient fermés et que les rappeurs seraient confrontés à la Justice. Dorénavant, les chanteurs de rap iraniens auront besoin d’une permission officielle pour l’enregistrement d’un album ou pour organiser un concert.
On ne sait pas pour le moment si le genre musical est complètement banni en Iran. Seulement quelques chansons sont autorisées à la diffusion par le Ministère alors que la plupart circulent illégalement sur le marché.
Les films « décadents », la drogue et l’alcool sont également considérés comme des vices et seront interdits. Les femmes maquillées et portant un chapeau au lieu du voile sont arrêtées.
Le chef suprême iranien, Ayatollah Ali Khamenei, a ouvertement déclaré son soutien à la police nationale.
Marine G.
http://news.bbc.co.uk/2/hi/middle_east/7119097.stm

12/03/2007

Kazemi's case : Judgement incoming


Tuesday 27 November

Kazemi's case : Judgement incoming


Iran's supreme courts has ordered a new investigation into the death of Zahra Kazemi, an Iranian-Canadian photojournalist, who had died of 'head injuries', after more than three days in custody in 2003.


The official judicial spokesman Ali Reza Jamshidi was opposed to the acquittal in 2004 of an agent accused of beating her to death.
He said judges had 'found some formal flaws' in previous investigations.

Kazemi had been arrested in June 2003, while taking photographs outside the Evin prison, north of Tehran, but was never formally charged.


In September 2003, a judge charged a ministry agent, Mohammad Reza Aghdam Ahmadi, with 'semi-intentional murder'. But at the trial, Kazemi's mother and the Nobel laureate Shirin Ebadi, were convicted that it was Mohammad Bakshi, not Mr Ahmadi, who had tortured and killed the reporter with premeditation.


'Due to lack of sufficient evidence,' the judge concluded that Kazemi's head injuries could only have been the result of a fall caused by a drop of pressure caused by her hunger strike.


However, in March 2005, Shahram Azam, a former doctor at the defence ministry who had examined Kazemi 4 days after her arrest, said that the reporter showed obvious signs of torture and had been brutally raped by her interrogators.


The new evidence has led the Canadian government to request Iran to accept an international investigation into Kazemi's death.


Amélie S.


Mardi 27 novembre


L'affaire Kazemi : Le jugement arrive


La cour suprême a ordonné une nouvelle enquête sur la mort de la reporter-photographe canadienne-iranienne, Zahra Kazemi, morte de 'blessures à la tête' après un interrogatoire de plus de trois jours.


Le porte parole de la justice Ali Reza Jamshidi s'est opposé à l'acquittement en 2004 d'un agent de police accusé de l'avoir battue à mort.
Il a déclaré que les juges avaient trouvé des 'vices de forme' dans les précédentes enquêtes.

Kazemi a été arrêtée à 54 ans, pendant qu'elle faisait des photos à l'extérieur de la prison d'Evin au nord de la capitale, mais officiellement, elle n'a jamais été inculpée d'aucune infraction.


En septembre 2003, le pouvoir judiciaire accusa un agent du ministère, Mohammad Reza Aghdam Ahmadi, de 'meurtre semi-intentionnel'. Cependant au procès, la mère de Kazemi, ainsi que la lauréate du prix Nobel Shirin Ebadi ont assuré qu'il s'agissait de Mohammad Bakshi, et non Mr Ahmadi, qui avait torturé et tué la journaliste avec préméditation.


Faute de 'preuves suffisantes', les juges avaient conclu que les blessures de Kazemi n'avaient pu être causées que par une chute causée par une baisse de tension provoquée par sa grève de la faim.


Cependant, en mars 2005, Shahram Azam, un médecin du ministère de la Défense qui avait examiné Kazemi quatre jours plus tard, a déclaré que le reporter montrait des signes évidents de torture et de viol, sûrement perpétrés par ses interrogateurs.


Avec les nouveaux témoignages et donc nouvelles pistes, le gouvernement canadien a exigé que l'Iran accepte une enquête internationale sur la mort de la journaliste.


Amélie S.


Sources
: http://news.bbc.co.uk/2/hi/middle_east/7115024.stm

12/01/2007

Iranian leader dismisses US currency

Monday 19 November

Iranian leader dismisses US currency

President Mahmoud Ahmadinejad has suggested an end to the trading of oil in US dollars, calling the currency a 'worthless piece of paper'.

This speech was delivered at an Opec summit, and was opposed by Saudi Arabia, an US ally.

The Opec reunion ended with a pledge to provide the world with oil.

At the end of the summit, President Ahmadinejad declared that all the members were unhappy with the recent fall in the US currency value.

The dollar has become considerably weak against the Euro and other currencies in the past 12 months.

‘They [the US] get our oil and give us a worthless piece of paper’ he told the reporters.

This declaration, if it is followed, could add to the pressure on the dollar, and above all to the relations with the US.

Amélie S.


Lundi 19 novembre

Pas de dollars pour le président

Le président iranien Mahmoud Ahmadinejad a proposé de mettre un terme à la commercialisation du pétrole en dollars, 'un morceau de papier sans valeur'.

Cette déclaration a eu lieu au cours d'un sommet OPEC, qui s’est terminé sur un engagement à fournir au monde des approvisionnements fiables en pétrole.

Vers la fin du sommet, le président iranien Mahmoud Ahmadinejad a déclaré que tous les membres de l’organisation n'étaient pas satisfaits de la récente baisse du dollar.

Le dollar s'est considérablement affaibli face à l'euro et aux autres monnaies au cours des 12 derniers mois.

'Ils [les Etats-Unis] nous prennent notre pétrole et nous donnent un morceau de papier sans aucune valeur' a-t-il dit aux reporters.

Cette déclaration, si elle est suivie, pourrait ajouter à la pression sur dollar et par-dessus tout nuire encore aux relations avec les Etats-Unis.

Amélie S.

Sources :
http://news.bbc.co.uk/2/hi/americas/7101050.stm