3/28/2020

Holidays before the Covid-19


Since March 25, the Iranian government has banned traveingl in the country and has also warned Iranians about a "second wave" of the coronavirus. The official death toll is over 2,000 and could rise.
According to spokesman Ali Rabiei, many people moved around during the Nowruz New Year holidays, ignoring to the advice of the Health Ministry, urging people not to move. Some people travelled during the celebration to visit their families. This traditional holiday is the celebration of the New Year in the Persian calendar.
Mr Rabiei said "Unfortunately, some Iranians have ignored advice from Health Ministry officials and travelled during the New Year holidays...this could cause a second wave of the coronavirus."
Because they ignore the government's recommendations, Iranians would be forced to be confined in their cities. President Hassan Rouhani said that restrictions will be "strict" and "create difficulties" for Iranians.
Spokesman Ali Rabiei also declared: "We shall tighten our regulations if people do not obey new regulations".
The President added "People have to realize that these are difficult decisions that are being taken to protect people's lives, but we have no choice, because the lives of Iranians are important to us."
Although Iran is one of the most affected countries by the virus, Iran's leader wouldn't impose lockdowns. They claim that all necessary measures have been taken to stop the pandemic.
On Wednesday, Health Ministry spokesman Kianoush Jahanpour has said on television that over the last 24 hours, another 143 people had died. Since the beginning of the virus crisis, there have been 2,077 deaths and 27 017 cases, but the amount of contamination is maybe superior.

Amélia



Les Fêtes avant le Covid-19



Depuis le 25 mars, le gouvernement iranien a interdit les déplcements dans le pays. .Il a également mis en garde les Iraniens contre une "deuxième vague" du coronavirus. Le nombre officiel de décès est supérieur à 2 000 et pourrait augmenter.
Selon le porte-parole Ali Rabiei, beaucoup de personnes se sont déplacées pendant les fêtes du Nouvel An, contrairement aux conseils du ministère de la santé, incitant les gens à ne pas bouger. Certaines personnes ont voyagé pendant les fêtes du nouvel an persan pour rendre visite à leur famille
M. Rabiei a déclaré : "Malheureusement, certains Iraniens ont ignoré les conseils des responsables du ministère de la santé et ont voyagé pendant les vacances du nouvel an... et cela pourrait provoquer une deuxième vague de coronavirus."
Parce qu'ils ignorent les recommandations du gouvernement, les Iraniens seraient amenés être confinés dans leurs villes. D'autres restrictions seraient bientôt imposées pour arrêter la propagation de Covid-19. Le président Hassan Rouhani a déclaré que les restrictions seront "strictes" et "créeront des difficultés" pour les Iraniens.
Le porte-parole Ali Rabiei a également déclaré : "Nous allons renforcer nos règlements si les gens n'obéissent pas aux nouveaux règlements"
Le Président a ajouté : "Les gens doivent se rendre compte que ce sont des décisions difficiles qui sont prises pour protéger la vie des gens, mais nous n'avons pas le choix, parce que la vie des Iraniens est importante pour nous".
Bien que l'Iran soit l'un des pays les plus touchés par le virus, le gouvernement ne veut pas imposerait de confinement et affirment que toutes les mesures nécessaires ont été prises pour arrêter la pandémie.
Mercredi, le porte-parole du ministère de la santé, Kianoush Jahanpour, a déclaré à la télévision qu'au cours des dernières 24 heures, 143 personnes étaient mortes. Depuis le début du virus, ils sont 2 077 morts et 27 017  contaminations ont été recensées mais le nombre de cas peut-être supérieur.
Amélia
 


3/17/2020

Episode 2:


 Retaliation:



On March 13 2020, two American soldiers and a British soldier were killed in a rocket attack by a pro-Iranian militia in Iraq that targeted the Camp Taji military base. The Taji base hosts foreign coalition troops led by the US.
In reprisal air strikes were launched against. According to statements by the US Department of Defense; the strikes targeted 5 weapons storage facilities across the country.

For its part, the Iraqi army says it deplores the losses of three soldiers, two police officers and one civilian in the American counter-strikes. In addition to these casualties, there have been attacks on Iraqi military sites.

According to an American commander, the headquarters of the popular mobilization forces (PM) were affected. One of the powerful PM groups, the Iranian group Kataib Hezbollah, is suspected. The head of the American central command specifies that only this group would be able to "carry out an attack of this scale against the American forces of coalition in Iraq".

The US has reaffirmed "that it will no longer tolerate attacks on its people, our interests or our allies" and "will take all necessary steps to protect our forces".

To be continued...



Episode 2 :

L’escalade des hostilités continue :

Le 13 mars 2020, deux soldats américains et un soldat britannique ont été tués au cours d’une attaque à la roquette qui visait la base militaire de Camp Taji où sont stationnées des troupes étrangères de la coalition dirigée par les Etats-Unis.
En représailles des frappes aériennes ont été déclenchées contre une milice pro iranienne en Irak.

Selon les déclarations du département américain de la Défense, les frappes ont visé 5 installations de stockages d’armes à travers le pays.
De son côté, l’armée irakienne indique déplorer les pertes de trois soldats, de deux policiers et d’un civil dans les contre-frappes américaines. A ces pertes humaines s’ajouteraient des attaques contre des sites militaires irakiens.

Selon un commandant américain, le quartier général des forces de mobilisation populaire (PM) aurait été touché. Les soupçons se portent sur un des groupes puissants du PM, le groupe iranien Kataib Hezbollah. Le chef du commandement central américain précise que seul ce groupe serait en mesure de « mener une attaque de cette envergure contre les forces américaines de coalition en Irak ».

Les Etats Unis ont réaffirmé « qu’ils ne tolèreront plus les attaques contre leur peuple, nos intérêts ou nos alliés » et « prendront toutes les mesures nécessaires pour protéger nos forces ».

A suivre …

Nathanaëlle

3/03/2020

54,000 prisoners temporarily released


Iran has freed about 54,000 prisoners in overcrowded prisons to fight the new disease called Coronavirus.

Judiciary spokesman Gholamhossein Esmaili told reporters that some of the prisoners have been allowed to leave prison after testing negative for the virus and paying their bail, as in Tehran's Evin prison.

But "Security prisoners" with sentences of more than five years will not be released.
The Iranian ambassador to the United Kingdom spoke of some prisoners such as Iranian Mrs. Zaghari-Ratcliffe who "could be released on leave today or tomorrow ". This Iranian woman was imprisoned in Evin prison after being convicted of spying for the UK although she denied the charges.

Since the beginning of the epidemic in Iran, there have been 77 deaths in less than two weeks. On Tuesday, the Ministry of Health said that the number of patients had doubled to more than 2,336 victims. Among them, senior Iranian officials such as the head of the emergency medical services, Pirhossein Kolivand and 23 of the 290 members of parliament were infected. A member of the Discernment Council, Mohammad Mirmohammadi, died in Tehran.
The Supreme Leader, Ayatollah Ali Khamenei, sent a message to the Iranians to comply with the Ministry of Health's hygiene instructions and ordered all government agencies to provide them with the necessary assistance.

He also said that the authorities were fully transparent and did not hide the problem: "Our officials have reported with sincerity and transparency since day one. However, some countries where the outbreak has been more serious have tried to hide it." And he added that the Covid-19: "will not last long in the country and will pack up".

This Wednesday, a campaign to find the sick people will begin, especially in the countryside.
Amélia


54.000 prisonniers temporairement libérés


L'Iran a libéré environ 54.000 prisonniers dans certaines prisons surpeuplées pour combattre la nouvelle maladie appelée Coronavirus.

Le porte-parole du pouvoir judiciaire, Gholamhossein Esmaili, a déclaré aux journalistes que certains des prisonniers ont été autorisés à sortir de prison après avoir été testés négatifs pour le virus et avoir payé leur caution, comme à la prison d'Evin à Téhéran.

Mais les "prisonniers de sécurité" dont la peine est supérieure à cinq ans ne sont pas autorisés à quitter les établissements.

L'ambassadeur iranien au Royaume-Uni a parlé de certains prisonniers comme l'iranienne Mme Zaghari-Ratcliffe qui "pourrait être libérée en permission aujourd'hui ou demain". Cette Iranienne avait été emprisonnée à la prison d'Evin après avoir été reconnue coupable d'espionnage par le compte du Royaume-Uni bien qu’elle ait toujours a nié ces accusations.

Depuis le début de l'épidémie en Iran, il y a eu 77 décès en moins de deux semaines. Ce mardi, le ministère de la santé a déclaré que le nombre de malades avait doublé et s'élevait à plus de 2336. Parmi eux, de hauts responsables iraniens comme le chef des services médicaux d'urgence, Pirhossein Kolivand ainsi que 23 des 290 membres du parlement ont été contaminés. Un membre du Conseil de Discernement, Mohammad Mirmohammadi, est mort à Téhéran.

Le Guide suprême, l'ayatollah Ali Khamenei, a adressé un message aux Iraniens pour qu'ils respectent les instructions d'hygiène du ministère de la santé et a ordonné à tous les organismes gouvernementaux de leur apporter l'aide nécessaire.

Il a également déclaré que les autorités étaient totalement transparentes et ne cachaient pas le problème : "Nos fonctionnaires ont rendu compte avec sincérité et transparence depuis le premier jour. Cependant, certains pays où l'épidémie a été plus grave ont essayé de le cacher". Et il a ajouté que le Covid-19 : "ne durera pas longtemps dans le pays et fera ses valises".

Ce mercredi, une campagne pour retrouver les personnes malades commencera notamment dans les zones rurales.

Amélia