Iran has freed about
54,000 prisoners in overcrowded prisons to fight the new disease called
Coronavirus.
Judiciary spokesman
Gholamhossein Esmaili told reporters that some of the prisoners have been allowed
to leave prison after testing negative for the virus and paying their bail, as
in Tehran's Evin prison.
But "Security
prisoners" with sentences of more than five years will not be released.
The Iranian
ambassador to the United Kingdom spoke of some prisoners such as Iranian Mrs.
Zaghari-Ratcliffe who "could be released on leave today or tomorrow
". This Iranian woman was imprisoned in Evin prison after being convicted
of spying for the UK although she denied the charges.
Since the beginning
of the epidemic in Iran, there have been 77 deaths in less than two weeks. On
Tuesday, the Ministry of Health said that the number of patients had doubled to
more than 2,336 victims. Among them, senior Iranian officials such as the head
of the emergency medical services, Pirhossein Kolivand and 23 of the 290
members of parliament were infected. A member of the Discernment Council,
Mohammad Mirmohammadi, died in Tehran.
The Supreme Leader,
Ayatollah Ali Khamenei, sent a message to the Iranians to comply with the Ministry
of Health's hygiene instructions and ordered all government agencies to provide
them with the necessary assistance.
He also said that
the authorities were fully transparent and did not hide the problem: "Our
officials have reported with sincerity and transparency since day one. However,
some countries where the outbreak has been more serious have tried to hide
it." And he added that the Covid-19: "will not last long in the
country and will pack up".
This Wednesday, a
campaign to find the sick people will begin, especially in the countryside.
Amélia
54.000
prisonniers temporairement libérés
L'Iran a libéré environ 54.000 prisonniers dans certaines prisons
surpeuplées pour combattre la nouvelle maladie appelée Coronavirus.
Le porte-parole du pouvoir judiciaire, Gholamhossein Esmaili, a déclaré
aux journalistes que certains des prisonniers ont été autorisés à sortir de
prison après avoir été testés négatifs pour le virus et avoir payé leur
caution, comme à la prison d'Evin à Téhéran.
Mais les "prisonniers de sécurité" dont la peine est
supérieure à cinq ans ne sont pas autorisés à quitter les établissements.
L'ambassadeur iranien au Royaume-Uni a parlé de certains prisonniers
comme l'iranienne Mme Zaghari-Ratcliffe qui "pourrait être libérée en
permission aujourd'hui ou demain". Cette Iranienne avait été emprisonnée à
la prison d'Evin après avoir été reconnue coupable d'espionnage par le compte
du Royaume-Uni bien qu’elle ait toujours a nié ces accusations.
Depuis le début de l'épidémie en Iran, il y a eu 77 décès en moins de
deux semaines. Ce mardi, le ministère de la santé a déclaré que le nombre de
malades avait doublé et s'élevait à plus de 2336. Parmi eux, de hauts
responsables iraniens comme le chef des services médicaux d'urgence, Pirhossein
Kolivand ainsi que 23 des 290 membres du parlement ont été contaminés. Un
membre du Conseil de Discernement, Mohammad Mirmohammadi, est mort à Téhéran.
Le Guide suprême, l'ayatollah Ali Khamenei, a adressé un message aux
Iraniens pour qu'ils respectent les instructions d'hygiène du ministère de la
santé et a ordonné à tous les organismes gouvernementaux de leur apporter
l'aide nécessaire.
Il a également déclaré que les autorités étaient totalement
transparentes et ne cachaient pas le problème : "Nos fonctionnaires ont
rendu compte avec sincérité et transparence depuis le premier jour. Cependant,
certains pays où l'épidémie a été plus grave ont essayé de le cacher". Et
il a ajouté que le Covid-19 : "ne durera pas longtemps dans le pays et
fera ses valises".
Ce mercredi, une campagne pour retrouver les personnes malades
commencera notamment dans les zones rurales.
Amélia
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