Iran
announced that the State subsidies on petrol had been cut on April
24. These subsidies were quite controversial given that it made
petrol even cheaper that bottled mineral water.
Interior
minister Abdolreza Rahmani Fazli claimed: "We have been
preparing for two months to implement these plans in provinces,
cities and rural areas". Each motorist can buy a limited amount
of subsidised petrol. A great rush followed the announcement as
Iranians filled up their cars before the deadline. As the people were
buying subsidised petrol, the price rose from $0,16 to $0,28 a litre
at midnight. The petrol price out of this ration - the only one
available now- increased from $0,27 to $0,39 a litre.
Rohani's
government explained that the goal of this plan was to boost the
national economy, weakened by Western sanctions. On the contrary,
analysts claim that this increase is bound to be unwelcome by
Iranians who already saw their electricity and water bills go up by
over 20%.
Opinion:
As President Rohani is still negotiating about easing economical
sanctions of the country, Iranians are forced to complyand accept
price increase. But this loss of purchasing power is hardly popular
in a country where a quarter of the population doesn't have any job
or is under-employed. No riots have been reported, but in 2007, when
fuel prices increased for the very first time some trouble took place
in petrol stations. However, Iranian petrol is still one of the
cheapest in the world.
Le
pouvoir d'achat en danger?
L’Iran
a annoncé que les subventions de l’État sur l'essence seraient
supprimées dans la nuit du 24 avril. Ces subventions étaient assez
controversées puisqu'elles avaient rendu l'essence moins chère que
l'eau minérale.
Abdolreza
Rahmani Fazli, le ministre de l'Intérieur iranien a affirmé : "Nous
nous sommes préparés durant deux mois pour mettre en œuvre ces
plans dans les provinces, les villes et les zones rurales".
Chaque automobiliste peut acheter une quantité limitée d'essence
subventionnée. Les Iraniens se sont rués vers les stations services
pour faire le plein avant la date limite. Alors que les gens
achetaient de l'essence subventionnée, le prix de celle-ci est passé
de 0,12 € à 0,20 € le litre à minuit. Le prix de l'essence hors
rationnement (la seule disponible maintenant) est passé de 0,20 €
à 0,28 € le litre.
Le
gouvernement de Rohani a expliqué que le but de cette action était
de relancer quelque peu l'économie nationale, affaiblie par les
sanctions occidentales. Au contraire, les analystes soutiennent
l'idée que cette augmentation sera inévitablement mal accueillie
par les Iraniens qui ont déjà vu leurs factures d'électricité et
d'eau augmenter de plus de 20%.
Opinion
: Alors que le président Rohani continue de négocier pour alléger
les sanctions économiques pesant sur le pays, les Iraniens sont
forcés de subir et d'accepter la flambée des prix. Mais cette perte
de pouvoir d'achat n'est pas bien vue dans un pays où un quart de la
population n'a pas de travail ou est sous-employée. Aucune
protestation n'a été rapportée, mais en 2007, lorsque les prix du
carburant ont augmenté pour la toute première fois, des troubles
avaient été constatés dans des stations services. Cependant,
l'essence iranienne est toujours l'une des moins chères du monde.
Sources
:
http://www.bbc.com/news/world-middle-east-27152960
Martin