Iran, Turkey and Syria endorse a cease-fire
On Wednesday 18th of October, after 19 months of
conflict, Iran rallied Turkey to support the new Syria peace envoy’s cease-fire
proposal. It is one of the rare moments of accord between them.
Thus, like the United Nations and the Arab League’s
representative Lakhdar Brahimi said, it would constitute only a tiny step
toward resolving the conflict. However, the Syrian government expressed
doubts that the rebels will honor this cease-fire.
The peace envoy, Mr. Brahimi, an Algerian statesman,
proposed this truce with the aim of breaking the impasse and to initiate a
dialogue in Syria. Turkey and Iran support him, which is important
because they are enemies. Moreover, Iran’s president Mahmoud Ahmadinejad, who met
Turkey’s Prime Minister, claimed that he supports the proposal and said that
“any group that derives power through war and means to continue war has no
future”.
In Damascus, Jihad Makdessi, the Foreign Ministry
spokesman, said that his government would welcome any “constructive initiative”
from Mr. Brahimi. But some observers think that neither side
wants to stop shooting and called for the people arrested or abducted during
the conflict to be released.
Vers un cessez-le-feu en Syrie?
Le mercredi 18 octobre, après
19 mois de conflit, l’Iran a rejoint la Turquie qui soutient une nouvelle
proposition de trêve. C’est l’un des rares moments d’accord entre ces deux
pays.
Néanmoins, comme l’a souligné
le représentant des Nations Unies et de la Ligue Arabe Lakhdar Brahimi, cela ne
constituerait qu’un petit pas vers la résolution de ce conflit. Cependant, le
gouvernement syrien s’est dit sceptique quant au fait que les rebelles
honoreront ce cessez le feu.
L’émissaire de la paix, M.
Brahimi, un homme d’état algérien, a proposé cette trêve dans le but de sortir
de l’impasse en Syrie et pour y amorcer un dialogue. La Turquie et l’Iran l’ont
acceptée en dépit de leurs désaccords.
Mahmoud Ahmadinejad, le
président de l’Iran qui a rencontré le Premier Ministre turc a affirmé qu’il soutenait
la proposition et a déclaré que «tout groupe qui tire son pouvoir de la guerre
et la perpétue n’a aucun avenir».
A Damas, Jihad Makdessi, le
porte-parole du ministère des Affaires étrangères, a déclaré que son gouvernement
accueillerait toute «initiative constructive » de M. Brahimi. Mais certaines
personnes pensent qu’aucun des deux camps n’arrêtera de tirer et qu’il serait essentiel
de libérer les personnes arrêtées ou enlevées durant le conflit.
Angélia