National
Iranian medias reported on January 29 that 3 U.N inspectors visited
Gachin mine on January 22.
In
compliance with the nuclear agreement signed last November, Iran
accepted to freeze its uranium enrichment project for six months from
January 20. The U.N also asked for a freer access for the inspectors.
This could allow to ease the economic sanctions.
Behrouz
Kamalvandi, the Atomic Energy Organization of Iran (A.E.O.I)
spokesman, declared that the three inspectors from International
Atomic Energy Agency (I.A.E.A) went to Bandar Abbas, in southern Iran
to visit the yellowcake uranium mine of Gachin. This visit of the
I.A.E.A is the first in 9 years.
Some
time ago, the organization asked Tehran about the real purpose of
this mine, which produces uranium after converting nuclear fuel. The
government denied any link with Iranian military politics. Gachin
mine had been qualified “a suspect site” by Yukiya Amano, I.A.E.A
director. In December the inspectors visited another “suspect
site”, Arak heavy-water plant. This plant is producing heavy water
for a nuclear reactor whose construction is not finished yet. Tehran
claims that the reactor function is generating energy. But when the
reactor is completed, plutonium will be generated and this could help
engineer a nuclear weapon. The non-opening of the factory was also a
provision of the November treaty.
Opinion:
Iran doesn’t seem reluctant to let U.N inspectors visit most of its
main national nuclear sites. International press and governments have
welcomed the “good-will gesture” from Tehran. Plus, national
media said the government was not obliged to let the inspectors visit
both Arak and Gachin sites. Iran is continuing its opening policy and
showing good will.
Six
pieds sous terre
Les
médias nationaux iraniens ont rapporté le 29 janvier que trois
inspecteurs de l'O.N.U ont visité le 22 janvier la mine de Gachin.
En
conformité avec l'accord sur le nucléaire signé en novembre
dernier, l'Iran a accepté d’interrompre son projet
d'enrichissement pendant six mois à compter du 20 janvier. L'O.N.U a
également demandé un accès plus libre aux inspecteurs. Cela
pourrait permettre un allègement des sanctions.
Behrouz
Kamalvandi, le porte-parole de l'Organisation Iranienne de l’Énergie
Atomique (O.I.E.A), a déclaré que trois inspecteurs de l'Agence
Internationale de l’Énergie Atomique (A.I.E.A) s'étaient rendus à
Bandar Abbas, au sud de l'Iran pour visiter la mine d'uranium
yellowcake de Gachin. Cette visite de l'A.I.E.A est la
première depuis 9 ans.
Il
y a quelque temps, l'organisation a demandé à Téhéran quel était
le but réel de cette mine, qui produit de l'uranium puis le
transforme en combustible nucléaire. Le gouvernement a nié tout
lien avec la politique militaire iranienne. La mine de Gachin a été
qualifiée de « site suspect » par Yukiya Amano, le directeur de
l'A.I.E.A. En décembre les inspecteurs ont visité un autre « site
suspect », l'usine d’eau lourde d'Arak. Cette usine produit de
l'eau lourde pour un réacteur nucléaire dont la construction n'est
pas encore achevée. Téhéran affirme que la fonction du réacteur
est de générer de l'énergie. Mais si le réacteur devient
fonctionnel, du plutonium sera créé et cette ressource peut aider à
concevoir une arme nucléaire. La non-ouverture de cette usine était
aussi une clause du traité de novembre.
Opinion:
L’Iran ne semble pas inquiet de laisser les inspecteurs de l'O.N.U
visiter ses plus importants sites du programme nucléaire national.
La presse et les gouvernements internationaux ont accueilli
favorablement la «bonne volonté» de Téhéran. De plus, les médias
nationaux ont souligné que le gouvernement n'était pas obligé de
laisser les inspecteurs visiter les sites d'Arak et Gachin. L’Iran
continue sa politique d'ouverture et affiche sa bonne volonté.
Sources: http://www.nytimes.com/2014/01/30/world/middleeast/united-nations-inspectors-visit-uranium-mine-in-iran.html?ref=iran&_r=1
Martin