US sanctions hit Central Bank

The American senators have been unanimous: More sanctions must be taken against Iran in such a way that every foreign firm stops economic relations as regards oil with the Iranian central bank. This measure is necessary to freeze assets that the countries have in the United-States in case these countries wouldn’t stop their business with this bank.

But these sanctions do not convince American president Obama -and other officials-who must approve it before enforcing it. They are worried of the far-reaching consequences these sanctions could have. First of all, Iran’s economy is based on oil sale. Thus, if the United States attempts to stop it, Oil prices may rise during the following years, and that wouldn’t be advantageous in times of uncertainty.

The US government had previously imposed economic sanctions to Iran. But the latest sanctions lead to the halt of trade between Iran central bank and other countries and targets one of the most significant institutions in Iran.

All these decisions against Iran have been taken for one reason. The US government wants Iran to cease its nuclear program, because it thinks that a nuclear weapon is being developed, as the UN shows it on a recent report, although Iran claims the civil aim of its research. The European Union shares the American opinion and has also taken measures such as blacklisting 180 firms and Iranian officials. But insofar as the European Union is still a major oil customer of Iran, it cannot take too many consequential sanctions like an oil embargo.

All this pressure gives rise to violent reactions from the Iranian population. For example, civilians stormed the British embassy in Tehran. The British foreign secretary, William Hague has responded by expulsing some of the Iranian officials working at the Iranian embassy in London.The tension between Iran and the West is becoming of worldwide importance. It also poses an economic problem all over the world with the fluctuation of oil prices.

http://www.bbc.co.uk/news/world-us-canada-15997065

Le Sénat américain vote des sanctions économiques contre l’Iran

Le 2 décembre, les cent sénateurs américains ont voté à l’unanimité une décision renforçant les sanctions économiques envers l’Iran. L’objectif de cette mesure est d’empêcher les institutions étrangères d’avoir des échanges économiques dans le secteur du pétrole avec la banque centrale iranienne en menaçant les pays concernés de geler les avoirs qu’ils ont aux Etats-Unis.

Cette mesure n’a pas encore été mise en application, car le président Obama et certains responsables Américain hésitent. L’Iran est un important fournisseur de pétrole et si la loi est mise en place, le marché mondial en subirait les conséquences. Le risque est d’augmenter le prix du pétrole dans un contexte économique déjà perturbé.

Des sanctions économiques envers l’Iran avaient précédemment été prises par les Etats-Unis, mais cette fois-ci, le gouvernement a voulu cibler la banque centrale iranienne, élément majeur de l’économie du pays, tout en dissuadant d’autres pays de commercer avec l’Iran.

Des décisions d’une telle ampleur sont mises en place pour une unique raison : les Etats-Unis souhaitent mettre un terme aux recherches de l’Iran dans le domaine du nucléaire par crainte du développement de l’arme atomique. Un rapport de l’ONU a d’ailleurs dévoilé la relation entre les recherches nucléaires et une hypothétique politique d’armement. L’Iran pourtant, nie totalement le but militaire de son programme et affirme que les recherches et les extractions massives d’uranium ont des fins purement civiles. L’Union européenne est de la même opinion que les Etats-Unis. Elle a d’ailleurs de son coté pris des mesures, par exemple en mettant sur liste noire 180 entreprises et responsables iraniens. Néanmoins, elle reste enretrait face à la mise en place d’un embargo sur le pétrole étant donné qu’elle demeure un de ses principaux acheteurs.

Toutes ces tensions diplomatiques aboutissent à des réactions de la population. L’ambassade du Royaume-Uni en Iran a été prise d’assaut par des civils. Bien que l’Iran ait déploré cet incident, William Hague, secrétaire aux affaires étrangères a ordonné l’expulsion de diplomates iraniens travaillant à l’ambassade d’Iran à Londres.

Ces évènements illustrent la gravité des conflits et tensions politico-économiques entre l’Iran et les pays occidentaux, qui prennent une ampleur de plus en plus considérable.

Thomas

US air spy downed in Iran

Iran captured a US surveillance drone intercepted in the Iranian air space. According to Tehran, The RQ-170 sentinel came from the Afghan border. Apparently, The Pentagon was using it to spy on Iran and its nuclear program. It was brought down and captured by an electronic warfare unit without being damaged. A member of the Iranian parliament’s national security committee, Parviz Sorouri said the information extracted by military experts from the drone would be used to “file a lawsuit against the United States over the invasion”. Reported by the Iranian Student’s News Agency and according to the Iranian Defense Minister Ahmad Vahidi: “The American espionage drone is now Iran's property, and our country will decide what steps to take regarding it,”

US president called on Iran to restitute the drone, but Iran is sticking to its guns. Vahidi also said: “Instead of apologizing to the Iranian nation, [the US] is brazenly asking for the drone back,” reported this time by another news agency, Mehr. The US Secretary of State, Hillary Clinton said the drone will not be returned that easily, US would have to pursue a “diplomatic approach”.

On top of all this, Iranian authorities claimed to have arrested CIA spies last May. Meanwhile, two Iranian military officials are under sanction process by the US for alleged human rights abuses.

http://www.bbc.co.uk/news/world-middle-east-16154743

Un drone américain RQ-170 capturé en Iran

Après avoir découvert un drone de surveillance appartenant aux Etats-Unis volant dans son espace aérien, l’Iran a capturé le RQ-170 en provenance de la frontière afghane. Le Pentagone l’aurait utilisé pour collecter des informations sur le programme nucléaire iranien. Le drone a été capturé par une unité de guerre électronique sans être endommagé.

Des spécialistes militaires sont en train de décrypter les données recueillies par le drone afin d’entamer une procédure judiciaire contre les Etats-Unis, annonce Parviz Sorouri, un membre du comité de la sécurité nationale. Ahmad Vahidi, le ministre de la défense a déclaré que le drone est maintenant sous le contrôle et la responsabilité de l’Iran. Les Etats-Unis ont tenté de le récupérer, mais sans succès. Selon Vahidi, ils ne se seraient pas excusés de l’intrusion. D’après Hillary Clinton, les Etats-Unis doivent tenter une approche diplomatique pour espérer récupérer leur drone, ce qui ne sera pas facile.

D’après l’Iran, les Etats-Unis auraient aussi arrêté des espions de la CIA sans donner d’information sur leurs identités. Deux hauts gradés iraniens sont de leur côté accusés d’infraction aux droits de l’homme et font l’objet de sanctions américaines.

Louis

CIA agents trapped in the Iranian and Lebanon net

The United States of America and its allies, as Israel, suspect a nuclear military program is in development in Iran. Of course, the Iranian government denies this accusation but they stay stick to their guns.

In the last few days, Iran discovered and arrested 12 secret agents of the US Central Intelligence Agency (CIA). The National Security and Foreign Policy Committee, through Parviz Sorouri, a very influential man, doesn’t want to give their identifications or locations. According to Mr. Sorouri, they were working with Israel’s Mossad on what seems to be the espionage of the nuclear Iranian program that worries so much the US. Apparently, they were infiltrating local intelligence services.

In fact, this infiltration has been going on for a long time, months, perhaps years. The CIA has settled their spies in the Iranian Shia organisation and in the Lebanon’s Hezbollah, led by Hassan Nasrallah. The US embassy in Beirut claimed all those accusations were wrong, but the Association France-Presse said that some officials in US approved what Mr. Nasrallah said on TV. It started when the CIA began to recruit spies in countries like Malaysia, Turkey or the United Arab Emirates. In May, this year, 30 people were arrested because of their membership of a secret CIA network. It continued in June when the Hezbollah unmasked two other CIA secret agents.

http://www.bbc.co.uk/news/world-middle-east-15879086

Des agents de la CIA arrêtés par les services secrets iraniens

Le développement par l’Iran d’un programme nucléaire potentiellement militaire a mis les Etats-Unis et ses alliés, comme Israël, sur leurs gardes. D’après les informations données par l’Iran et en particulier par Parviz Sorouri, un homme influent proche des services de sécurité iraniens, la CIA, l’Agence centrale de renseignement des Etats-Unis, aurait infiltré les agents secrets récemment arrêtés. Ils travaillaient apparemment de concert avec le Mossad israélien dans le but d’en apprendre plus sur ce fameux programme nucléaire, d’après M. Sorouri.

Mais cette infiltration n’est pas la première. En effet, en mai dernier, le Hezbollah, organisation chiite libanaise soutenue par l’Iran, aurait arrêté 30 personnes soupçonnées d’appartenir à un réseau infiltré de la CIA. L’influence de la CIA est forte puisqu’elle a recruté des espions dans d’autres pays, comme la Turquie, la Malaisie ou encore les Emirats arabes unis. D’autres agents ont encore été découverts en juin. Certains organismes comme l’ambassade des Etats-Unis située à Beyrouth ont réfuté ces accusations portées par le secrétaire général du Hezbollah. Pourtant ces dires ont été confirmés par de hautes instances américaines.

Louis