Ali Fallahian, one of the most feared characters of Iran’s Islamic establishment, annouced his candidacy in Iran's June 14 presidential vote.
As he was
minister of intelligence under President Hashemi Rafsanjani, he has
been implicated in the 1992 assassinations of three Iranian Kurdish
opposition leaders and suspected of involvement in the 1995 bombing
of a Jewish center in Buenos Aires that killed 85 people, and has
remained on Interpol's wanted list ever since.
It is not the
first time he will run for the presidential elections. Actually he
once did in 2001 and finished sixth.
He already
announced his campaign slogan “Advanced Islamic Country”. His
main intentions as President are to fight the current important rate
of inflation and to stop Iran's nuclear uranium-enrichment program.
"Enough of nuclear. We don't want nuclear enrichment, we have
already mastered its knowledge." he said. He also plans closer
ties with the United States which he esteems needful for both
countries.
But he is not
the only one wanted on Interpol's list to curry presidential votes.
Indeed, Mohsen Rezai, secretary of Iran’s Expediency Council and a
former commander of the Revolutionary Guards (IRGC), also accused of
playing a role in the Buenos Aires Jewish center bombing, declared he
would officially stand for the presidential elections soon.
Opinion : That people with such records should claim to become the next Iranian President and seek the support of the population is frightening. However, we can doubt about the real democratic process of this vote. Indeed an election reform bill is currently discussed, which could favor the establishment candidates.
http://www.rferl.org/content/iran-fallafian-candidacy-presidential-election/24907608.html#hash=relatedInfoContainer
http://www.news.az/articles/iran/76838
De la liste Interpol à celle des canditats 20/02/2013
Ali Fallahian, l'un des personnages les plus redoutés du régime islamique a annoncé sa candidature aux présidentielles iraniennes du 14 juin prochain.
Alors qu'il était ministre du renseignement sous la présidence de Hashemi Rafsanjani, il a été impliqué dans les assassinats en 1992 des trois chefs kurdes iraniens de l'opposition et suspecté d’avoir participé à l’attentat à la bombe contre le centre juif de Buenos Aires qui a tué 85 personnes en 1995. Il figure depuis sur la liste des personnes recherchées par Interpol.
Il s’était précédemment présenté aux élections présidentielles en 2001 et avait fini sixième.
Il a déjà dévoilé son slogan pour sa campagne « un pays islamique avancé ». Ces principales intentions en tant que président sont de lutter contre l'importante inflation que connaît l'Iran
en
ce moment et d’arrêter le programme nucléaire d'enrichissement
d'uranium. Il a d'ailleurs déclaré « Assez de nucléaire. Nous ne
voulons pas d'enrichissement nucléaire, nous maîtrisons déjà
cette technique. ». Il prévoit également un rapprochement avec les
États-Unis qu'il estime nécessaire aux deux pays.
Mais il n'est pas le seul de
la liste Interpol à aspirer à la présidence. En effet, Mohsen
Rezai, secrétaire du Conseil iranien du Discernement et ancien
commandant des Gardiens de la Révolution (IRGC) est lui aussi accusé
d'avoir joué un rôle dans l’attentat de Buenos Aires, et a
déclaré qu’il allait bientôt annoncer sa candidature officielle.
Opinion : Il est effrayant de voir que des personnages avec un tel passif puissent briguer la présidence, apparemment avec le soutien d’une partie de la population. Malheureusement on peut avoir des doutes quant au véritable processus démocratique de cette élection. En effet le procédé de désignation des candidats va faire l'objet d'une prochaine réforme qui pourrait favoriser les hommes du régime actuel.
Flore