2/25/2009

Iran's president concedes economy hurting over oil

Monday 8 November
Iran's president concedes economy hurting over oil
Iran's president has recognized publicly for the first time that his country's economy is severely hurt by the heavy drop of oil prices. This is a change of political attitude for Iran's president and a damaging admission by a leader whose popularity is eroding while he is facing a tough re-election battle next year.
International financial institutions estimate Iran needs oil at $ 90 a barrel to keep its year's budget balanced, but it is currently below $50.
Just last month president Ahmadinejad boasted that even if the price of oil sank to $5 a barrel, Iran's economy would be fine. Now, the president says Iran's government has no choice but to reduce spending and generous subsidies and to raise taxes.
The president has been criticized because his diplomatic attitude with the US and other major international powers over the country's nuclear program, which has contributed to Iran's isolation, leads to no practical result.
The sharp decline has added to the pain of rising inflation and unemployment. Iran, the second largest OPEC (Organization of Petroleum Exporting Countries) producer, is deeply dependent on oil export.
Iran has vigorously asked for a large reduction of OPEC production in an attempt to raise prices back up to $80 to $100 per barrel.
Iran has few domestic refineries. As a result, it must import about the equivalent of $350 million of fuel per month.
Many economists believe cutting fuel subsidies will shoot Iran's inflation up to more than 50 percent. Ludivine
http://www.huffingtonpost.com/huff-wires/20081203/ml-iran-economy/

Lundi 8 Novembre
Le Président reconnaît que l'économie est touchée par la chute des cours du pétrole
Le président de l'Iran a reconnu publiquement pour la première fois que l'économie de son pays était sévèrement touchée par la chute importante des prix du pétrole. C'est un changement d'attitude politique pour le président et un constat embarrassant pour un dirigeant dont la popularité s'effrite alors qu'il va devoir affronter une dure bataille pour sa réélection l'année prochaine.
Les institutions financières internationales estiment que l'Iran a besoin d'un baril de pétrole à 90$ pour équilibrer son budget, mais il est actuellement en dessous des 50$.
Pas plus tard que le mois dernier le président Ahmadinejad prétendait que même si le prix du baril chutait sous les 5$ l'économie se porterait bien. Maintenant, le président affirme que le gouvernement de l'Iran n'a pas le choix mais qu'il doit réduire les dépenses ainsi que les subventions généreuses tout en augmentant les impôts.
Le président a été critiqué parce que son attitude vis à vis des États-unis et des autres grandes puissances internationales à propos du programme nucléaire iranien a contribué à isoler l'Iran, mais n’a produit aucun autre résultat.
La brusque chute des cours est venue s'ajouter à une inflation et un chômage en hausse. L'Iran, le second plus gros producteur de l'OPEP (Organisation des Pays Exportateurs de Pétrole) est profondément dépendant de l'exportation du pétrole.
L'Iran a vigoureusement demandé une réduction importante de la production de l'OPEP afin de faire remonter le prix du baril jusqu'à un niveau compris entre 80 et 100$.
L'Iran compte peu de raffineries sur son sol et doit donc importer environ l'équivalent de 350 millions de dollars d’énergie par mois.
De nombreux économistes pensent que la suppression des subventions liées aux dépenses énergétiques ferait bondir l'inflation à plus de 50%.
Ludivine

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