F
for freedom ?
On
6 December 2013 in Mata de São João took place the final draw for
the 2014 FIFA world cup in Brazil. The Iranian team struggled to make
it to the final 32 but eventually succeeded.
The
“Persian Stars” will play in group F with Argentina, Bosnia
Herzegovina and Nigeria, three teams which outperform them -
especially Argentina, 3rd
FIFA
ranked with world-famous striker Lionel Messi. However the team can
count on players like Javad Nekounam, a talented central midfielder.
All
Iranian sportsmen and sportswomen are amateurs with football
currently the most popular sport in the country whileVarzesh-e
Pahlavani, a
traditional sport, mixes bodybuilding, gymnastics and wrestling and
encourages power sports practice. That's why many wrestling and
weightlifting competitions are won by Iranians. At the 2012 London
Olympics, 4 gold medals, 3 in wrestling and 1 in weightlifting were
awarded to Iranian athletes.
Iran
has also one of the best Asian cycling teams, Tabriz Petrochemical
Team, who won UCI Asia World Tour by teams and placed Ghader Mizbani
Iranagh, the current Iranian cycling champion in the 3rd
place of the individual ranking.
But
sport is not easily accessible to female athletes. First, figure
skating and ballroom dancing are forbidden in compliance with Islamic
Sharia. The National Olympic committee chaired by Mohammad Aliabadi
imposes severe punishments to a sportswoman who doesn't respect the
Islamic rules during competition. For example, some athletes were
banned from competing in the Olympics because a male referee could
touch them. Plus, they have to wear the Islamic veil during the
competition. It has been the subject of disqualifications especially
in swimming competitions.
Opinion:
Iran has an
important sport heritage, a place in world competitions like the
football world cup but some problems persist. Islam is hindering
sport development. Indeed, a total of only 6 women represented Iran
at the last four Olympics. There is a long way to go toward sport
freedom.
Le
6 décembre 2013 a eu lieu à Mata de São João le tirage au sort
des phases finales de la coupe du monde 2014 de football au Brésil.
Les
« Etoiles persanes » joueront dans le groupe F contre les équipes
nationales d'Argentine, de Bosnie-Herzégovine et du Nigeria, trois
équipes normalement plus performantes, spécialement l'Argentine,
classée 3ème au classement FIFA et comptant parmi ses membres le
célèbre Lionel Messi. Cependant l'équipe iranienne pourra compter
sur des joueurs comme Javad Nekounam, un talentueux milieu de
terrain.
Le
football est aujourd'hui le sport le plus populaire en Iran.
Cependant la forte présence du sport traditionnel, leVarzesh-e
Pahlavani, un mélange de culturisme, de gymnastique et de lutte
encourage la pratique des sports de force. C'est pourquoi un grand
nombre de compétitions de lutte ou d'haltérophilie sont remportées
par des Iraniens. Aux Jeux Olympiques de Londres en 2012, 4 médailles
d'or, 3 en lutte et 1 en haltérophilie, sont revenues à des
sportifs iraniens.
L’Iran
possède aussi l'une des meilleures équipes cyclistes asiatiques, la
Tabriz Petrochemical Team, qui a remporté le classement UCI
Asia Tour par équipes et a placé Ghader Mizbani Iranagh, l'actuel
champion national sur route à la 3ème place du classement
individuel.
L'équipe
nationale de volley-ball des moins de 19 ans a remporté en 2007 le
championnat du monde de volley-ball.
Mais
le sport est difficile à pratiquer pour les athlètes féminines.
Premièrement, le patinage artistique et la danse sportive leur sont
interdits, en conformité avec la charia. Le comité olympique
national présidé par Mohammad Aliabadi impose des sanctions sévères
à toute sportive qui ne respecte pas les lois islamiques durant les
compétitions. Par exemple, des athlètes ont été interdites de
concourir durant les jeux olympiques car un arbitre masculin pouvait
les toucher. De plus, elles doivent porter le voile islamique durant
toutes les compétitions. Cela a été le sujet de disqualifications,
en particulier pour les compétitions de natation.
Opinion
: L’Iran a un patrimoine sportif important,
une place dans les compétitions mondiales comme la coupe du monde de
football mais des problèmes persistent. L’Islam entrave le
développement sportif. En effet, un total de seulement 6 femmes ont
représenté l'Iran durant les 4 derniers jeux olympiques. Le chemin
est encore long vers la liberté du sport.