11/08/2014

Iranian democracy?


   Saturday 1 November, The Economist wrote a column about Iran entitled «The Revolution is over», the following summary is about one of this journal's article.

   Three and a half decades ago, Khomeini, Iran's supreme leader, created the Islamic Republic. This Republic is not as democratic as the American one from which it is inspired. Before this Revolution, Iran's regime was a dictatorship, and some people feared that when Khomeini died (he was then 75 years old) some interest groups would take the power and that a civil war would start. It seems that Iran is taking its fate into its own hands. Day after day the daily life is improving.
   In this political regime the power is not held only by one man or one group. It is divided between the military, clerics, civilian judges and the president reporting to the supreme leader. The power is still in the hands of a few people, but from extremely diverse social statuses such as politicians, clerics, generals, judges, journalists, businessmen...

   Votes are sometimes rigged as in other Middle East countries. The on-going president, Mr. Rouhani, is also a much more moderate president compared with his predecessors but inequality and injustice still plague the Iranian society. 


   Démocratie à l’iranienne 

   Samedi 1er novembre, The Economist a consacré un dossier à l'Iran intitulé «La Révolution est finie» le résumé qui suit est inspiré de l'un des articles contenus dans ce dossier.

   Il y a 35 ans, Khomeini, le guide suprême iranien, créait la République islamique. Cette république, très semblable au modèle américain, est cependant moins démocratique. Avant ce changement de modèle politique, l'Iran était une dictature, et on pouvait craindre qu'à la mort de Khomeini (qui avait alors tout de même 75 ans) des groupes défendant des intérêts privés prendraient le pouvoir et que l'Iran serait plongé dans la guerre civile. Cependant l'Iran semble prendre son destin en main et des actions sont menées jour après jour pour améliorer peu à peu le quotidien des Iraniens.

   Ce régime politique empêche le pouvoir d'être conservé par une personne unique ou par un petit groupe, il est réparti entre l'armée, les clercs, les juges civils pour la justice ainsi qu'avec le président qui doit répondre des ses actions au guide suprême. Le pouvoir est cependant  toujours réservé à une minorité de personnes, issues de milieux sociaux divers comme les politiciens, le clergé, les généraux, les journalistes, les hommes d’affaire...
   Les élections sont parfois truquées comme dans les autres pays du Moyen Orient. Le président actuel, Hassan Rohani, est également un président nettement plus modéré que ses prédécesseurs, néanmoins de nombreuses inégalités et injustices persistent.

Lucie

Source: the Economist «Revolution is over»: http://www.economist.com/news/special-report/21628600-irans-political-elite-maintains-delicate-balance-rush-centre

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