12/06/2009

Sunday 8 November

No nuclear transaction with the world

Yesterday, after new negotiations, Iran refused to export its low-enriched uranium to foreign countries in exchange of fuel for its research reactor in Tehran. This was supposed to reduce the permanent conflict about the nuclear energy program in Iran and Iran's nuclear stockpile.
« We do not want to give part of our 1200 kilos of enriched uranium in order to receive fuel of 20 percent enrichment » declared Alaeddin Borujerdi, the head of Parliament's national security and foreign policy committee, in the ISNA (Iranian Student's News Agency)
« This option of giving our enriched uranium gradually or in one go is over now. We are studying how to procure fuel and we are negotiating to find a solution. » he said of Iran's envoy to the UN atomic watchdog.
The proposal between France, USA, Russia and Iran, which was signed by all parts, was supposed to start the first transactions very quickly but Iran wanted to amend the deal, which was already the sign of Iran's reservations.
Today, Iranian leaders declared that they didn't want to exchange anymore because they have found new countries which could sell them fuel.
This failed transaction reinforces the doubt on Iran's possible nuclear weapons while Tehran denies using nuclear industry for bombs and weapons and says its nuclear program is only for peaceful purposes


Dimanche 8 Novembre

L'Iran n'échangera pas son uranium

L'Iran n'échangera pas son stock d'uranium peu enrichi contre du combustible pour son réacteur de recherches médicales, a déclaré samedi le président de la commission des affaires étrangères du Parlement, Alaeddine Boroujerdi au grand dam des pays étrangers qui voulaient réduire le stock d'uranium et donc le risque d'armes nucléaires en Iran.
«Il n’est pas prévu d’envoyer une partie des 1200 kilos (d’uranium) à l’autre partie pour recevoir du combustible. Cela est désormais hors de question, que ce soit de manière graduelle ou en une seule fois», a affirmé ce responsable. «A l’heure actuelle, nos experts sont en train de voir comment obtenir le combustible pour régler ce problème. Nous sommes en train de négocier actuellement pour trouver une solution»
L'offre qui avait été approuvée par les États-Unis, la France et la Russie devait mettre en place le plus vite possible les premiers échanges d'uranium mais l'Iran a souhaité apporter des modifications ce qui montrait déjà les réticences de l'Iran à effectuer cet échange.
L'Iran a déclaré n'avoir plus besoin de cet échange car il aurait trouvé de nouveaux fournisseurs.
L'inquiétude grandit à la suite de l'échec des négociations car le risque d'armes nucléaires iraniennes est toujours plus présent bien que Téhéran déclare que son programme nucléaire a des visées pacifiques uniquement.
Joachim

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